Voilier-stop

Il n’y a pas de route reliant la Colombie au Panama. Après une semaine de recherche de voilier-stop au port de Cartagena, j’embarque finalement sur le bateau d’amis d’amis. Les deux marins italiens acceptent de m’emmener à la dernière minute car il reste une place libre. En échange, j’aide à la cuisine et au ménage et je paie ma part de boisson et nourriture.

Le port de Cartagena

De nombreux voiliers organisent des croisières de cinq jours pour traverser de la Colombie au Panama. Le prix du voyage est de 500 dollars en septembre 2014. Le ferry, lui, n’existe pas encore, il sera mis en place en octobre 2014, avec un voyage en 18 heures à 100 dollars.

Margaux

Margaux est française, voyageuse soliste pour deux mois et acrobate en Ecole de Cirque. Elle a prévu de revenir ici pour une tournée de cirque en voilier !

José et Julieta

Ce couple argentin voyage depuis deux ans en Amérique du Sud. Médecin de formation, Julieta vit maintenant d’artisanat (tricot). Lors d’un arrêt de six mois en Equateur, son ami José, cinéaste de formation, a travaillé comme cuisinier. Ils se déplacent en auto-stop ou en bus, dorment en auberge de jeunesse ou sous la tente. Ils veulent voyager jusqu’au Mexique, ou peut-être jusqu’aux Etats-Unis. Ils verront, de toute manière, ils n’ont pas de date de retour prévue.

José et Julieta 2

Rico

Rico est italien, il vit depuis deux ans sur le voilier, avec son associé Andrea. Depuis trois mois, ils travaillent avec les touristes entre la Colombie et la Panama pour remplir la caisse de bord.

Eau turquoise

Après deux nuits et une journée de navigation, nous arrivons dans l’archipel de San Blas, constitué de 365 îles minuscules. Les palmiers, le sable fin, l’eau turquoise : c’est magnifique et sauvage.

Barbecue

Le troisième soir, nous préparons un barbecue et mangeons autour d’un grand feu, sur une des îles de San Blas

Regardant le feu

Pêcheur

Certaines îles de San Blas sont habitées par les indigènes. Ils vivent d’artisanat et de pêche.

L’île de l’épave

Quelques familles indigènes vivent sur cette île rendue touristique pour sa proximité avec une épave.

Andrea

Andrea était artiste peintre en Italie. Il a tout vendu pour s’acheter un voilier où il vit depuis deux ans avec son associé Rico.

Tristesse

Andrea et josé

Etoile de mer

La marelle

Je suis amusée de voir que même à l’autre bout du monde, sur une île des Caraïbes, les enfants jouent à la marelle.

Maisons indigènes

Un soixantaine d’îles de San Blas sont peuplées par les indigènes qui vivent dans des maisons en bois et en feuilles.

Rico et Pablo

Chris

Chris est australien. Il voyage depuis deux ans avec son amie Amber. Après l’Asie, ils sont venus en Amérique Latine. Ils vivent grâce à leurs économies. Le retour en Australie est prévu pour Noël.

Diner sur le voilier

Sous l’eau

L’eau est transparente, le fond marin est rempli de coraux et de poissons multicolores.